Des PME* peuvent très bien être touchées par l’espionnage industriel dès lors que leurs activités les mettent en possession d’informations ou de savoir-faire exclusifs.
(* NDLR 97% des entreprises françaises ont entre 1 et 19 salariés …)
On constate cependant un retard français important, même si le développement du secteur de l’intelligence économique et de la gestion des risques ces dernières années a renforcé la préoccupation légitime des entreprises pour la sécurisation de leur patrimoine. L’analyse des circuits de décision, la due diligence, la sécurisation des réseaux informatiques ou la lutte anti-contrefaçon sont autant de nouvelles pratiques destinées à protéger le savoir-faire et les produits de l’entreprise dans un contexte de concurrence internationale accrue. Mais c’est surtout la généralisation des outils de communication numérique qui donne toute sa raison à la confidentialité du patrimoine informationnel.
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